Je venais de quitter le boulot, j'avais mal partout, ses jours-ci le moindre passerelle de mon corps était endolorie, après avoir roulé dix minutes en direction de mon mobile home, je claquais la portière et trainait des pieds en direction de la porte, j'ai déposé mes clés sur la table tout en commençant à me déshabiller, le t-shirt atterri sur le canapé, le soutient près de la porte de ma chambre, le jean sur le lit et ma culotte devant la porte de la salle de bain, il me faudrait un bon bain pour me détendre.

J'avais une idée de ce qui me rendait aussi grisé, cela faisait trois mois qu'Adam était parti, ses voyage pour Washington se faisait de plus en plus fréquent, je croisais de moins en moins ses loups et c'est une bonne chose mise à part Ben qui était mon garde du corps attitré. Au début je ne l'aimais pas trop, mais après l'épisode avec Tim, j'ai su percé sa carapace ce qui est une bonne chose.

L'eau commença à couler sur ma peau, mes muscles commençait à se détendre petit à petit, les yeux fermé je visualisais le corps d'Adam, je soupirais de frustration parler au téléphone, faire des allusions de ce qu'on aurait peu faire le moment précis est une bonne chose, mais mon corps dit autre chose après une demie heure passé sous les jets d'eau je me sentais un peu mieux.

Samuel devait passer diner après son service à l'hôpital, il m'aidait à passer le temps de temps à autre quand il n'est pas avec sa femelle, mais bon Samuel n'est pas Adam. Après avoir préparé un filet mignon et envoyer un message à Jesse pour savoir ce qu'elle faisait de bon, je m'installais devant la télé.

Jess n'a pas arrêter de m'harceler avant l'arrivée de Samuel, elle passait les vacances chez sa mère et cela tombait bien, elle revenait une semaine après le retour d'Adam. Le soir venu je me suis allongé encore une fois seule dans mon lit, je regardais par ma petite fenêtre tout en soupirant, j'avais du mal à trouver le sommeil, mon téléphone se mit à sonner, je souris légèrement le cœur battant, je savais qui était au bout de la ligne.

- Monsieur se fait désiré ? demandais-je en guise de bonsoir.

Il eut un petit rire derrière la ligne, j'adorais le voir sourire, il avait une fossette adorable à regarder, mais là il se contenta de soupirer.

- Adam dis-je inquiète.
- Tu ne vas pas aimer ce que je vais te dire.

J'avais une vague idée de ce qu'il allait dire, son retour sera encore repousser, cela fait des semaines que c'est le cas, entre un loup qui a perdu la tête, un autre qui a fait son coming out Adam n'a plus une minute à lui.

- Alors ?
- Je ne rentre pas avant deux semaines, mon retour de demain est repousser.
- Encore ? Ma libido en prend un coup.

Il se contenta de rire, un rire étouffer par son plaisir, il devait avoir plus envie que moi, cela ne change pas grand-chose, quand nous somme chez lui, nous évitons de nous toucher trop d'oreille indiscret, mais nous avons toujours eu nos moment à nous.

- Je me ferais pardonner.
- Tu as intérêt de doubler la mise parce que l'eau froide ne fait plus d'effet.
- Fait des beaux rêves Mercy.

Il venait de raccrocher ? Sans rien dire de plus... Je finis par m'endormir sans trop réfléchir de ce que j'allais faire demain. Le lendemain matin après avoir pris une douche je suis parti faire les magasins, j'avais besoin de me changer les idées, un samedi sur quatre je laisse le garage à Zee, après quelque magasin de vêtement, j'ai fait un saut dans celle de la lingerie, je ne suis pas du style coquette, mais bon une fois de temps en temps je peux faire un petit effort.

La vendeuse m'aida à choisir quelque chose de sexy, mais soft, j'en connais un qui risque de perdre la tête en le voyant. Après avoir payé mes achats, je me suis acheter quelque hamburgers sur le chemin du retour, j'ai déposé mes sac sur le canapé et j'ai été me coucher, la fatigue devenait de plus en plus tenace.

Quelques heures plus tard je me réveille en sursaut en entendant du bruit dans mon salon, je m'en pars de la canne magique qui venait d'apparaitre et marcha sur la pointe des pieds...

- Elle ne te sera d'aucune utilité dit une voix masculine.

Il poussait un long soupir avant d'ouvrir la porte de ma chambre.

- Ça t'arrive souvent d'arriver sans prévenir ?
- Moi qui pensais-tu serais contente de me voir et bien je suis déçu.
- Je dormais t'imagine que tu m'as réveillé donc je ne suis pas de bonne humeur.
- Que puis-je faire pour te mettre de bonne humeur dit-il en souriant.

Je le regardais en secouant la tête, il fit un pas vers moi, son parfum envahi mon espace vitale en une fraction de seconde, ses yeux commençait à luire d'un or pur ce qui signifiait son loup n'était pas loin, il me tira à lui tout en respirant mon odeur.

- Tu m'as tellement manqué dit-il dans mes cheveux.

Je passais mes bras autour de sa taille pour me serrer contre lui, me cramponné à lui, tout son être m'a terriblement manqué, j'avais beau faire l'indifférente et bien cette distance n'a fait que renforcer mes sentiments à son égard.

- Alors tu as fait chauffer ta carte bleue aujourd'hui ?
- Je m'ennuyais et puis j'avais besoin de renouveler quelque gadget.
- A-t-il quelque chose pour moi dans tout cela ?
- Tu verras bien.

Il me leva le menton pour me donner notre premier baisser depuis des mois, ses lèvres son douce et chaude comme à mon souvenir, il s'écarta pour qu'on puisse reprendre notre souffle je jetais un coup d'œil par la fenêtre, il faisait déjà nuit.

- Ça fait longtemps que tu es arrivé ?
- Deux heures, je suis venue te voir directement, mais tu dormais alors je suis allé voir les autres et je suis revenu, mais je dois dire que tu as le sommeil lourd.
- J'étais fatiguer disons ça fait des jours que ça dure, mais bon maintenant que tu es là je suis plus qu'en forme.
Il fit un sourire en coin avant d'aller s'installer sur le canapé, j'avais besoin de m'éclaircir les penser avant que je ne saute sur lui comme une affamé.

- Tu as déjà mangé ?
- Non.
- Je vais nous préparer quelque chose à manger alors.

Il fit un signe de la tête pendant que je m'activais dans la cuisine, il zappait, mais j'étais sûr qu'il avait l'esprit ailleurs, je pouvais sentir son regard dans mon dos, je devais me concentré pour ne pas me brulé ou brulé le repas, quelques instants plus tard nous étions installés face à face entrain de diner, il me regardait de temps en temps ce qui faisait monter la chaleur de la pièce.

- Que dirais-tu si je te tenais compagnie ce soir ?
- Cela me va.
- Et si tu me montrais ce que tu as acheté ?

Le sang me monta aux joues, je finis mon assiette sans répondre après avoir débarrassé la table j'ai ramassé mes sacs et je suis rentrée dans la chambre puis la salle de bain, j'ai pris une douche vite fait et je suis restée planter devant le miroir, ce n'est pas la première fois qu'il me verra en sous-vêtements, mais c'était une première série du genre « je fais ma féministe », après avoir soupiré j'ai enfilé mon attirail.

Quelques minutes plus tard j'ai entendu le lit grincé et le bruit des sacs qui semble changer de place, je me suis regarder une dernière fois dans le miroir avant de sortir de la pièce tête baissé, je n'avais pas envie d'affronter son regard pour le moment.

Adam retenait son souffle, je l'ai remarqué au battement de son cœur, j'ai rougis encore plus et mordit ma lèvre inférieur quand j'ai vu ses pieds entrer sous mon champs de vision, il mit un doigt sous mon menton et me fit relevé la tête, il avait les yeux brillant de désir ce qui me fit sourire.

- Le spectacle te plait ? osais-je demander.
- Il n'y a pas de mot pour qualifier cela.

Il me fit tourner sur mon même, je voyais à quel point il luttait avec son envie de m'arracher mes vêtements, il passa la main sous l'une des bretelles de mon soutient et le fit claquer sur mon épaule avant de me tirer à lui.

- J'avais imaginé nos retrouvailles rapides et puissantes, mais avec ce cadeau, je vais te faire l'amour avec douceur et tendresse.

J'avais la chair de poule, son souffle contre mon oreille réveilla tous mes hormones qui était encore endormir, le désir me nouait l'estomac, mais rien au monde ne pourra remplacer Adam dans mon cœur, tout mon être le réclamait.

Il fit glisser l'une de ses mains sur l'une de mes fesses et les serra doucement, il déposa des baisser de mon oreilles à mon cou et remonta encore une fois à mes oreilles.

- Oh Mercy gémit-il, si tu savais à quel point je te désire.

J'avais une vague idée, je pouvais le sentir de plusieurs manière, soit par son odeur ou soit pas sa bosse qui était collé à mon bas ventre, il gémit encore une fois.

- C'est toi que je désire le plus au monde, je n'ai jamais désiré une femme comme je te désire.

Il agrippa mes fesses me forçant à nouer mes jambes autour de sa taille et me porta jusqu'au lit, ce soir j'allais retrouver l'Adam que j'aimais, bien qu'il ne soit pas doux quand la tension est élever, mais je voyais à quel point il voulait tenir parole, sa mâchoire se crispa, mais il continua petit à petit ce qu'il avait commencé.

Je le regardais ôté sa cravate, sa veste, sa chemise, son pantalon et tout le reste de ses vêtements avant qu'il ne se mette à genoux sur le lit les yeux brillant. Il fit glissé mes bretelles avant de m'ôté mon soutient dévoila mes seins à son regard avide, il fit glissé mon string lentement du bout des doigts, laissant un tracé chaud sur ma peau, je gémissais de plaisir.

Il déposa des baisser sur chaque parti de mon corps, il vénéra chaque recoin de mon être, me donnant autant de plaisir que je pouvais en demander, il murmura à quel point il m'aimait que rien au monde ne pourra nous séparé, j'ai voulu lui rendre la pareil, mais il se contenta de secouer la tête à voir son regard il était près de l'explosion.

Il se plaça au-dessus de moi les yeux brillant, il me donna un baisser sauvage, son self contrôle venait d'atteindre sa limite et me pénétra d'un puissant coup de rein, je me suis accroché à lui de toute mes forces, laissant mon corps se réhabitué à grosseur et le laissa commencer sa danse divine, petit à petit nous montons vers le chemin de l'orgasme, nos corps se couvèrent de sueur, nos cris s'unir quand nous attenions le plaisir final.

Adam s'écroula près de moi et me tira dans ses bras, il déposa un baisser sur mon front, je cachais mon sourire épanoui, nos cœur battait encore à toute vitesse, petit à petit la tension redescendirent et nous nous sommes endormi avec des dernier « je t'aime » ...